Quiconque voit qu’il récite quelque chose du Coran et ne sait pas ce qu’il a lu ou oublié. S’il est malade, guéri par Dieu ou lésé, Dieu soulagera son inquiétude et on dit que celui qui voit qu’il récite le Coran dit la vérité. Il récite le Coran et le complète, puis sa vie expire pour le mieux. Il a été dit que celui qui a vu qu’il avait achevé le Coran atteindra son but, et s’il en lit la moitié, la moitié de sa vie est passée. Il n’est pas permis d’y lire indique qu’il y a un défaut dans sa religion, et quiconque voit qu’il a lu une sourate, sa décision est comme quelqu’un qui a lu cette sourate, donc l’expression de son expression